• La journée: CHF 300.- / Jour
  • Semaine: CHF 2000.- /semaine

Specifications

Condition Neuf
Année 09-2023
Transmission Boîte Automatique
  • Marque: Porsche
  • Nombre de place: 5
  • Type d'option de la voiture: Automatique

La journée: CHF 300.- / Jour

Semaine: CHF 2000.- /semaine

Voiture automatique

  • Genre de véhicule: Voiture de tourisme
  • Carrosserie: Break
  • Puissance: 324KW
  • Couleur: Gris foncé métal
  • Cylindrée: 2894 cm³
  • Poids total: 2835 kg

Porsche Panamera : l’histoire de la berline de luxe qui voulait être une super voiture

Si l’on compare la Porsche Panamera aux autres voitures de la marque, il est clair qu’il n’existe pas de modèles comparables : une berline à quatre portes qui allie confort et sportivité. Il n’y a que quelques prototypes, comme la Porsche 989, qui n’a cependant jamais été produite, ou quelques versions spéciales, comme la Porsche 928-4, un break construit en 1984 sur la base de la Porsche 928 S et équipé d’un V8 de 5 litres et de 310 ch. Cette voiture n’a jamais vu le jour, car il s’agissait d’un cadeau offert par les employés de l’entreprise de Stuttgart à Ferry Porsche à l’occasion de son 75e anniversaire. La Panamera représente donc un modèle unique dans toute l’histoire de Porsche, qui mérite d’être découvert.
La première série de la Porsche Panamera

Quel message veut faire passer un constructeur automobile dont la part de marché dans la production mondiale annuelle est minime ? Question juste ». C’est par cette question provocatrice que s’ouvrait la brochure de présentation de la Porsche Panamera lors de sa première mise sur le marché en mai 2009. Le succès ne signifie pas nécessairement qu’il faille s’astreindre à un modèle. Certaines personnalités fortes refusent en effet de se conformer aux normes et aux conventions en s’efforçant d’être ce que nous étions autrefois : ouverts, spontanés, curieux et capables de nous étonner », ont répondu peu après les responsables du marketing de Porsche.

Telle était, et telle est toujours, la philosophie du projet Panamera. Au début des années 2000, en effet, Porsche était convaincu que le marché était prêt à accueillir une berline performante à quatre portes et quatre places. Le cahier des charges du projet prévoyait le développement d’une berline au design sportif, à l’intérieur spacieux et aux performances comparables à celles des autres modèles de la gamme. De cette idée conceptuelle est né le projet qui a pris le nom de Porsche Mirage, à ne pas confondre avec d’autres modèles basés sur Porsche. En fait, c’est ainsi que l’entreprise a défini sa nouvelle voiture : « 4 portes. 4 places. Le plaisir de conduire une voiture de sport multiplié par 4. Avec tous les bagages. Mais sans compromis. C’est notre contribution à la catégorie supérieure. Plus précisément : à la conduite dans la catégorie supérieure. Nous étions convaincus qu’un souffle de dynamisme sportif était nécessaire.

Mais la présentation officielle était encore loin. En fait, la présentation de la première série de la Porsche Panamera a eu lieu le 19 avril 2009 au salon de l’automobile de Shanghai, en Chine. Comme pour d’autres modèles emblématiques de la marque, le nom Panamera trouve son origine dans une compétition de sport automobile. Il s’agit de la Carrera Panamericana, une course organisée entre 1950 et 1954, qui s’étendait de la frontière américaine à la frontière guatémaltèque sur un parcours d’environ trois mille kilomètres le long du Mexique. Lors de la toute dernière édition de la course, Porsche a réussi à obtenir la troisième place avec une Porsche 550 Spyder.

Mais l’accueil, du moins pour les puristes de la marque, n’a pas été des meilleurs : comme pour le Cayenne, beaucoup ont estimé que les valeurs traditionnelles de la marque avaient été dénaturées. La Panamera, en effet, se présente avec une longueur qui, dans toutes les versions, dépasse les cinq mètres et une masse qui frôle, et dans certaines versions dépasse largement, les deux tonnes. En fait, comme le montrent les dessins basés sur la 356, les projets d’une GT à quatre places remontent aux années 1950, mais ils n’ont jamais été suivis d’effet.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *